Les inlassables parties de
baby-foot avec comme balle, un demi bouchon de liège…
Nous avons fait de belles
balades… Une petite file indienne quand les différents groupes partent…
Rapidement, un écart se creuse entre les groupes qui sont tous rentrés pour
faire du ski ou de la luge auprès du car ! Quel bonheur ! Le soleil
est revenu…
Tous étaient radieux et les
chutes se font de plus en plus rares (sauf quelques spectaculaires qui font
bien rire…)
Nous avons rendu nos skis…
déjà ! Ils étaient nombreux ceux qui pensaient que c’était passé trop
vite… En attendant tout le monde, des jeux dans la neige et sur le portique un
peu englouti…
Pour le dîner, nous avons eu
des quenelles au brochet faites maison ! Le schtroumpf fermier est arrivé
essoufflé : il venait de découvrir des cochons dans la montagne et au
moment où il allait les rejoindre pour trouver la salsepareille, Gargamel est
arrivé aussi puisqu’il espionne les schtroumpfs…
Le schtroumpf-jardinier, muni
de palmes, s’est donc enfui… Il nous apportait un plan pour nous montrer où il
avait vu les cochons et voulait partir tout de suite avec nous tous. Tous les schtroumpfs
étaient partant, tout de suite !… Mais Grand Schtroumpf est arrivé, il a
apporter des sabots à schtroumpf-jardinier et lui a expliqué qu’il n’avait pas
besoin de palmes sur la neige mais de raquettes… et il lui a aussi expliqué
qu’il était trop dangereux de partir à cette heure tardive dans le noir et
qu’en plus on ne verrait pas Gargamel approcher… Ce dernier argument a
convaincu les schtroumpfs courageux : «Même pas peur du noir… »
Nous partirons donc demain et
la carte a été confiée à Eric, notre chauffeur de car.
Il faudra porter Grand
Schtroumpf et le schtroumpf Maxence a accouru pour le porter sur le champ…
Devant la réelle difficulté
de la mission, Grand Schtroumpf blessé a décidé de chercher une formule dans
son laboratoire pour devenir moins lourd d’ici demain matin…
Nous verrons comment il
résoudra la difficulté…
A près les services, nous
avons été à la chapelle pour une veillée d’adoration, de prière et de
confession animée par les skieurs bleus. C’était la plus belle veillée ont dit
certains.
Quand on a pu monter se
coucher ou rester, plus de la moitié du groupe a choisi de rester…Jusqu’à ce
que tous ceux qui souhaitaient se confesser aient pu faire l’expérience de la
miséricorde de Dieu... Les grands voulaient continuer à animer… il a fallu les
arrêter…
Tout le monde s’est endormi
très vite.
Blandine
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