Quelques photos d'hier
Les descentes en luge ont permis aux autres de bien s’amuser. Nous sommes ensuite rentrés au chalet et après les douches, nous avons choisi entre un temps d’échange sur la foi en Dieu et la messe pour ceux qui le voulaient.
Pour le dîner, nous nous sommes régalés encore une fois. Une soupe de potiron « maison » suivie d’un couscous « maison » et une tarte aux pommes « maison » aussi !!!! « Paul, ton repas était succulent ! » a clamé un enfant.
Ce matin, après le petit déjeuner, Astérix et Obélix sont venus et les enfants leur ont expliqué ce que les tribus gauloises appréciaient ou moins dans les propositions grecques d’Athènes. L’infirmière leur a donné de l’eau en expliquant à tout le monde qu’il fallait être attentif à boire souvent. Obélix ne pensait qu’à manger des sangliers… et certains lui ont fait remarquer qu’il ne faisait pas très attention à sa ligne. Comme certains enfants voulaient des céréales, Obélix a expliqué qu’il fallait en parler au Père Philippix pour qu’il puisse en cueillir… Comme les filles trouvaient que les toilettes n’étaient pas toujours propres, il a aussi expliqué aux garçons qu’il fallait être attentif à ne pas se retourner pour bavarder afin d’éviter les flaques autour des toilettes.
Un des services est d’interviewer le cuisinier pour rédiger et afficher le
menu après avoir remis le couvert.
Après la louange, nous avons eu la suite du Credo sur la Pentecôte et l’Esprit Saint qui nous donne la force d’aimer Dieu et les autres.
Nous avons eu un temps libre et le déjeuner : de la purée
« maison » et des steacks hachés ont fait fureur comme le fromage
blanc aux vraies framboises du dessert.Après la louange, nous avons eu la suite du Credo sur la Pentecôte et l’Esprit Saint qui nous donne la force d’aimer Dieu et les autres.
Nous sommes maintenant en ateliers au village. Il faut accélérer le plus
possible et freiner au coup de sifflet ; ailleurs, il faut se mettre par
deux avec une seule paire de bâtons et freiner après une accélération ;
dans le troisième atelier, on doit se baisser, se lever pour faire sonner la
clochette, se baisser pour toucher un plot avec les fesses… ; et enfin,
dans le dernier atelier, il faut descendre sans bâton et freiner en bas de la
pente.
A demain ou après demain
Blandine